Les peines frappant les membres de la fraternité anversoise dont le bizutage cruel et dégradant avait provoqué la mort de Sanda Dia, étudiant ingénieur né de père mauritanien, sont au cœur du débat en Flandre. Une idée majeure en ressort : nous avons besoin, dans notre société, de peines convaincantes. C'est un sujet qui unit notre pays si souvent divisé : le désir de peines plus sévères.

Alors que le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles réfléchit à une disparition progressive des cours de religion dans l’enseignement officiel en faveur d’un renforcement de l’éducation à la philosophie et citoyenneté, il y a lieu de s’interroger sur le risque d’une relégation du religieux dans la seule sphère privée.

Le laïcisme est la tentation de se créer une nouvelle religion d’État... laïque, où le libre-examen a valeur de dogme absolu. Je m'inscris totalement en faux par rapport à cela.

Le principal remède à la crise de la démocratie n’est pas d’espérer le dirigeant parfait, ni de se passer de représentants… mais de la cultiver et de l’approfondir. Voici comment.

Certains l’appellent une « pandémie dans la pandémie » ou « une maladie chronique potentielle résultant de la pandémie du virus SRAS-CoV-2 ». Les chercheurs de la Harvard Medical School, eux, parlent d’une « pandémie silencieuse ». Quoi qu’il en soit, mal défini et mal compris, l’impact considérable du « Covid Long » apparaît comme le prochain champ de bataille de la pandémie du Covid-19.

Les paroles des victimes des attentats, sept ans après, interrogent encore la véritable puissance d'un "pardon".

Dans nos débats, la suprématie morale remplace de plus en plus l’argumentation rationnelle. Nous devons en sortir.

Le bien commun c’est “le plus grand bien du plus grand nombre”. Curieusement, cette notion centrale tend, aujourd’hui, à tomber dans l’oubli. Elle est pourtant d’une nécessité urgente pour l’avenir même de nos démocraties, voire de notre humanité.

Une société qui se porte bien ne craint pas les opinions divergentes qui heurtent, choquent ou inquiètent.

C’est en faisant l’expérience du don que nous comprenons à quel point les actes exclusivement dictés par l’intérêt individuel, le pouvoir et l’argent conduisent nos vies à leur perte.

”Mourir pour des idées ? D’accord, mais de mort lente !” chantait Brassens, lui le rebelle anarchiste qui pourtant ne manquait ni de pensées généreuses ni d’esprit. Sans doute sous-entendait-il que toute certitude ne mérite pas nécessairement le sacrifice ultime… Lesquelles alors ?

Réjouissons-nous puisque le point commun de tous les vœux de fin d’année est précisément la joie !

Réponse aux juristes qui plaident en faveur de l’inscription dans notre Constitution d’un “droit” à l’avortement. Vous avez oublié la condition corporelle qui nous a faits homme et femme.

À l’opposé de la démesure du show et de la logique de l’immédiateté vendus par Amazon dans sa série inspirée de Tolkien, l’œuvre de ce dernier nous appelle à renverser la logique des puissants.