Le principal remède à la crise de la démocratie n’est pas d’espérer le dirigeant parfait, ni de se passer de représentants… mais de la cultiver et de l’approfondir. Voici comment.

”Mourir pour des idées ? D’accord, mais de mort lente !” chantait Brassens, lui le rebelle anarchiste qui pourtant ne manquait ni de pensées généreuses ni d’esprit. Sans doute sous-entendait-il que toute certitude ne mérite pas nécessairement le sacrifice ultime… Lesquelles alors ?

Un employé peut-il prier sur son lieu de travail ? Une entreprise peut-elle le lui interdire ? Léopold Vanbellingen s’est penché sur ces questions. Il observe qu’en Belgique la neutralité ne s’applique plus partout de la même manière.

L’ex-président américain Donald Trump affirme qu’il faut "armer" les citoyens afin qu’ils soient prêts à combattre le mal dans notre société. Mais combattre quoi, si le mal, en soi, n’est qu’"absence" ?

Un service à la nation serait utile à mettre en œuvre pour mieux faire face aux menaces multiples et complexes qui nous entourent.

Crise aidant, beaucoup choisissent de ne plus faire confiance à personne. Comment respecteraient-ils les soucis, les projets, les espérances ou les jugements d’autrui ?

Cela commence par des gouvernants qui tiennent le gouvernail alors que depuis un an ils suivent les événements, se contredisent et montrent plus d’empressement à complaire et à construire des usines à gaz que d’effets dont on puisse être fiers et qui puissent nous lier.

Pourquoi ne pas élargir le débat à un grand nombre de citoyens mieux informés, plutôt que s’en remettre à un processus parlementaire usé par des luttes purement partisanes ? Une opinion de Xavier De Muylder, gynécologue.

Les réactions des citoyens à l’annonce du déconfinement progressif laissent croire que nombreux sont ceux pour qui il est plus aisé de se plier à des règles imposées que d’exercer leur responsabilité individuelle.

Dans la nouvelle géopolitique qui se dessine, les routes de la soie du XXIe siècle arrivent en Europe. Mais c’est d’Europe que partent les idées d’avenir. 

Nous chérissons la liberté, mais critiquons de plus en plus le libéralisme. Où est le problème ? Faut-il remettre en question la liberté, ou nous interroger sur la conception que nous en avons ?